Le plateau de l'Atalaye n° 2 - 70x70
Le port des pêcheurs à Biarritz - 100x100
Les crampotes au port des pêcheurs à Biarritz 100x100
La Villa Beltza à Biarritz 49x49
La passerelle à Biarritz 70x70
Le port des pêcheurs à Biarritz 49x49
Pâturage 70x70
Sur la plage à Socoa 70x70
La Villa "le goëland" à Biarritz 100x100
Bienvenue
Depuis 1974, je ne me suis consacrée qu'à mon art, la peinture.
Entièrement autodidacte, je me suis enrichie des musées et des galeries.
J'ai bénéficié aussi de l'enseignement du peintre bordelais Jean-Claude Dauguet, puis, une dizaine d'années plus tard, de la rencontre d'une peintre colombienne Emma Reyes, un grand privilège pour mon évolution personnelle. L'Art, disait-elle, est l'égal d'un grand voyage pour lequel on prend un billet dont on croit connaître la destination mais où chaque incident peut en détourner le parcours et se révéler d'une grande innovation.
Après maints échanges dans l'observation et l'exécution du travail, ma peinture figurative est devenue petit à petit plus personnelle et plus libérée. L'expression juste de mon sentiment devant le sujet compte à présent bien plus que le sujet lui-même.
S'élever, transcender, éclairer, voilà mes raisons de peindre et de vivre.
Le dessin m'a toujours aidé à regarder ce que l'on ne voit pas de prime abord. Il permet d'entrer à l'intérieur.
Représenter c'est rendre présent l'absent. Ceci est ma recherche absolue car je suis convaincue que la peinture ne devient fascinante que lorsqu'elle vient de la nuit des temps.
Pour le thème du corps, je traque l'apparence pour en faire comprendre la fragilité indicible.
Ma recherche va vers une liberté plus grande et plus audacieuse dans le geste et évolue vers une cohérence chromatique.
Lorsque je débute un tableau, je pars dans une abstraction structurée, je visualise dans tous les sens et je me laisse guider par les formes et les couleurs. J'avance pas à pas dans de nouvelles émotions et si je suis face à une incertitude je n'hésite pas à tout reprendre, modifier et détourner.
Etant obstinée voire têtue, je travaille jusqu'au sentiment de satisfaction et de bien-être.
Mon rêve est de pouvoir peindre les yeux fermés pour faire disparaître l'inutile, rester à l'essentiel avec un minimum de moyens.
Ne serait-ce pas là la magie de la peinture ?
Entièrement autodidacte, je me suis enrichie des musées et des galeries.
J'ai bénéficié aussi de l'enseignement du peintre bordelais Jean-Claude Dauguet, puis, une dizaine d'années plus tard, de la rencontre d'une peintre colombienne Emma Reyes, un grand privilège pour mon évolution personnelle. L'Art, disait-elle, est l'égal d'un grand voyage pour lequel on prend un billet dont on croit connaître la destination mais où chaque incident peut en détourner le parcours et se révéler d'une grande innovation.
Après maints échanges dans l'observation et l'exécution du travail, ma peinture figurative est devenue petit à petit plus personnelle et plus libérée. L'expression juste de mon sentiment devant le sujet compte à présent bien plus que le sujet lui-même.
S'élever, transcender, éclairer, voilà mes raisons de peindre et de vivre.
Le dessin m'a toujours aidé à regarder ce que l'on ne voit pas de prime abord. Il permet d'entrer à l'intérieur.
Représenter c'est rendre présent l'absent. Ceci est ma recherche absolue car je suis convaincue que la peinture ne devient fascinante que lorsqu'elle vient de la nuit des temps.
Pour le thème du corps, je traque l'apparence pour en faire comprendre la fragilité indicible.
Ma recherche va vers une liberté plus grande et plus audacieuse dans le geste et évolue vers une cohérence chromatique.
Lorsque je débute un tableau, je pars dans une abstraction structurée, je visualise dans tous les sens et je me laisse guider par les formes et les couleurs. J'avance pas à pas dans de nouvelles émotions et si je suis face à une incertitude je n'hésite pas à tout reprendre, modifier et détourner.
Etant obstinée voire têtue, je travaille jusqu'au sentiment de satisfaction et de bien-être.
Mon rêve est de pouvoir peindre les yeux fermés pour faire disparaître l'inutile, rester à l'essentiel avec un minimum de moyens.
Ne serait-ce pas là la magie de la peinture ?
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Merci pour ces photos qui satisfont ma curiosité à défaut de pouvoir me déplacer aussi loin en ce momenyt. Je trouve ces toiles très lumineuses. J'aime!
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